SEEG : De l’eau pour Akanda et Bellevue II | Gabonreview.com

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La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a procédé, le 26 mai 2021, à la livraison des travaux de réhabilitation de trois forages dans la commune d’Akanda, ainsi qu’à la réalisation d’un forage à Bellevue 2.

Livraison du forage de Malibé 1, le 26 mai 2021. © Gabonreview

 

Soumises au stress hydrique depuis plusieurs années, les populations des quartiers Makwengue, Premier-Campement et de Malibé 1, dans le premier arrondissement de la commune d’Akanda, et celles établies à Bellevue 2 dans le troisième arrondissement de Libreville ont, le 26 mai, assisté à la mise en service des forages solaires et électriques, dans leurs zones de résidence.

© Gabonreview

Ainsi, à l’initiative du président de la République et à travers un financement de la SEEG, plus de 2800 ménages ont désormais accès au précieux liquide entre 7 et 10 h en matinée et de 15 h à 18 h en soirée. «C’est un sentiment de joie qui nous anime aujourd’hui après plusieurs années sans eau. Avant, il fallait parcourir des kilomètres pour s’approvisionner en eau de puits», a confié le chef de quartier de Malibé 1, Sylvie Mouleba, tout en remerciant toutes les personnes ayant contribué de près ou de loin à la réussite de cette action.

Conduite avec le support de la PME locale Sogacof, l’opération de mobilisation des ressources en eau souterraine permet en effet d’offrir, à chaque secteur, une capacité de production oscillant entre 3000 litres/h et 4000 litres/h. «La Seeg s’engage à effectuer des contrôles réguliers nécessaires sur les 4 sites pour garantir la qualité de l’eau distribuée aux populations, conformément aux exigences en vigueur», assure le gestionnaire du service public de l’eau potable et de l’électricité.

Toutefois, pour Francis Sima Mba, un riverain du Premier-Campement, il importe d’attirer l’attention des populations sur l’entretien de ces ouvrages. «Le tout n’est pas d’avoir des infrastructures, il faut en prendre soin. C’est, pour moi, l’occasion d’interpeler les usagers sur les actes d’incivisme, car cet ouvrage nous appartient. Il ne faut pas que tous les deux mois, elle en vienne à nécessiter d’autres réparations».

Selon la SEEG, toutes ces réalisations, comme d’autres dont les travaux sont en voie d’achèvement – une quinzaine dans la province de l’Estuaire et Ngounié – constituent des solutions alternatives contribuant dans l’immédiat à satisfaire les besoins domestiques en eau des populations.



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