les recettes de Henri-Claude Oyima pour BGFI – Jeune Afrique
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Pour rester leader du secteur bancaire en Afrique centrale, le patron de BGFI mise sur une gouvernance « exemplaire », une meilleure communication et l’entrée de nouveaux actionnaires internationaux.
C’est un personnage qui manie le « nous » avec abondance. « Nos pays », « nos économies », « nos concitoyens »… Pour Henri-Claude Oyima, l’indéfectible PDG du groupe bancaire et financier BGFIBank originaire du Gabon, plus qu’un tic de langage, le tout inclusif paraît aller de soi. Après trente-cinq ans à la tête du premier groupe bancaire d’Afrique centrale, le Gabonais dissimule à peine un sourire satisfait quand il évoque la longévité d’une banque qu’il a fait grandir.
Depuis la pose de la première pierre il y a tout juste cinquante ans, en 1971, quand la Banque de Paris et des Pays-Bas (Paribas) voit le jour à Libreville, en passant par sa privatisation et son internationalisation, deux grands chantiers que le jeune ancien de Citibank a entamés lorsqu’il a pris les rênes de Paribas Gabon en 1986. Jusqu’à l’avènement d’un groupe financier structuré autour d’une maison mère, actif dans les métiers de la banque et des services financiers associés (asset management, affacturage, immobilier…), et implantés dans onze pays*.
Au 31 décembre 2020, le groupe BGFIBank représente 3 500 milliards de F CFA – soit 5,3 milliards d’euros – de total au bilan, en hausse de 12 % par rapport à l’année précédente. Relativement épargnées par la crise du Covid-19 car opérant sur un segment de niche – la clientèle haut de gamme et les PME à fort potentiel – les performances de l’entreprise ont décollé l’an dernier. Son produit net bancaire consolidé grimpe de 13 %, à 197 milliards de F CFA, pour un résultat net de 44 milliards (+114 %).
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