Gabon : Mayila, Mavioga et Maganga Moussavou consultés par Ossouka Raponda | Gabonreview.com
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Plusieurs responsables des partis de l’opposition modérée et de la majorité ont été reçus, le 1er juin, par le Premier ministre : le Secrétaire exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy Christian Mavioga, le président de l’Union pour la nouvelle République (UPNR), Louis Gaston Mayila, et le président du Parti social-démocrate (PSD), Pierre Clavier Maganga Moussavou. Ces échanges d’Ossouka Raponda s’inscrivent dans le cadre des rencontres et consultations régulières avec les acteurs politiques du pays.
Le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, poursuit ses entrevues avec la classe politique nationale. Elle a reçu, le 1er juin, à Libreville trois chefs de partis politiques : le Secrétaire exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy Christian Mavioga, le président de l’Union pour la nouvelle République (UPNR), Louis Gaston Mayila, et le leader du Parti social-démocrate (PSD), Pierre Clavier Maganga Moussavou. Au cœur de ces échanges à l’Immeuble du 2 décembre, de nombreux sujets relatifs au quotidien des Gabonais et à la vitalité de la démocratie au Gabon, notamment dans le but d’asseoir une meilleure cohésion sociale, gage de développement.
Premier à être reçu à la Primature pour des «échanges francs et constructifs», le Secrétaire exécutif du BDC a lancé un appel visant à réunir les Gabonais autour d’un idéal commun. «Nous sommes tous frères, différents certes comme les cinq doigts de la main, mais nous sommes condamnés à être ensemble pour bâtir notre pays et faire en sorte que notre vivre-ensemble ne soit pas décousu», a déclaré Guy Christian Mavioga.
Le président du PSD a quant à lui abordé, avec le chef du gouvernement, la question du conflit homme-faune. Avec Ossouka Raponda, Maganga Moussavou est revenu sur les tout derniers évènements de Mékambo, dans l’Ogooué-Ivindo. Le responsable du PSD relève qu’«un membre du Parti social-démocrate est impliqué, en l’occurrence le maire de la Commune de Makokou». «Il fallait venir s’enquérir de la situation et donner un point de vue justement dans le sens de ramener le calme et la cohésion sociale, déplorer ce qui s’y passe, et souhaiter que, tout de suite, la paix et la stabilité reviennent», a-t-il précisé.
Louis Gaston Mayila de l’UPNR a, de son côté, mis l’accent sur la cohésion sociale qui reste un facteur indéniable pour la stabilité et le développement du pays.
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